On peut définir le comportement comme étant la manière d’agir, la façon de se conduire dans la vie. Ce terme ne concerne pas que l’espèce canine.
Ce trouble peut être d’ordre quantitatif ou qualitatif.
Du côté quantitatif, le comportement peut être en excès ou en défaut. Un comportement en excès va créer de l’agitation, de l’instabilité, de l’agressivité, du bruit, de l’hyperactivité. C’est souvent actuellement dans ce sens que l’on utilise le plus ce terme. Un chien qui est agité va déranger : “il va falloir le calmer”.
On oublie trop souvent qu’un comportement par défaut est tout aussi problématique. Un chien qui ne bouge pas, qui se fait oublier, qui est inhibé est tout autant en souffrance que l’agité, mais il ne dérange pas. On va donc avoir tendance à sous-estimer l’importance de son problème.
Le trouble du comportement peut être qualitatif : Il s’agit alors d’une déviation, d’une inadaptation, d’une inadéquation à la réalité, d’une bizarrerie. Les troubles obsessionnels compulsifs sont des comportements inadaptés, inappropriés.
Le trouble du comportement est un symptôme
En médecine, un symptôme est un signe. Pris isolément, ce signe n’a aucune signification. C’est seulement en l’associant à d’autres signes que l’on va pouvoir diagnostiquer ce qu’il se passe. Ainsi, un trouble du comportement va pouvoir être le signe d’une maladie (physique, organique ou même cérébrale). Mais il serait faux de réduire tout trouble du comportement à une maladie. Les facteurs psychologiques, affectifs, émotionnels, jouent un rôle considérable dans le déclenchement des troubles du comportement.
Face à un trouble du comportement, on ne peut pas répondre de façon univoque, automatique ; il n’y a pas de recette magique, chaque cas est différent.
Chez le chien nous allons mettre dans les troubles du comportement :
- L’anxiété de séparation
- La dyssocialisation secondaire
- Mauvaise gestion des émotions : la frustration

OBTENEZ MAINTENANT LES TARIFS ET LES DATES DE NOS FORMATIONS