La consanguinité : consiste à marier les individus apparentés (père-fille ou mère-fils ; frère- sœur ; oncle et tante-neveu et nièce) avec différents degrés de parenté.
Cela entraîne une large variété de problèmes de santé, l’apparition de tares et de viabilité générale qui réduisent le potentiel de survie (dépression de consanguinité).
Or, dans certains élevages pour créer une race (et homogénéiser le patrimoine génétique), la manière la plus simple de produire une caractéristique est de croiser uniquement des individus qui l’expriment. S’il n’y a que quelques individus qui présentent ce caractère, on réduit alors le pool génétique de la race en réalisant des croisements dans la même famille.
Le degré de consanguinité : s’évalue par les coefficients de consanguinité et de parenté.Un individu consanguin peut détenir 2 copies d’un même gène transmis par son ancêtre à ses 2 parents.
Le coefficient de parenté est compris entre 0 et 1. En absence de parenté, le coefficient est de 0. Ces deux coefficients mesurent la probabilité de transmission d’un même gène commun.
Seuls certains cas sont vraiment utiles, lorsqu’il s’agit d’écarter certains problèmes génétiques à condition que le problème soit clairement délimité et son mode de transmission connu. Elle est définie avec la génétique de la race.
A cela s’ajoute des facteurs environnementaux entrainant des mutations génétiques sur les embryons et le développement de maladies qui étaient parfois en sommeil :
Alimentation, Activité physique de l’animal, Rencontre avec des polluants pouvant déclencher des cancers, Accidents, Nombre de mise bas pour les femelles.
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